L’esprit humain est une tumeur qui commence m’avoir. Ca me gangrène de l’interieur. Je pensai etre doté de la meilleur cuirasse mentale qui soit, un blindage a toute epreuve. Je croyai avoir la capacité de tous encaisser moralement d’etre apte a tous subir psychologiquement. Je me suis menti. En tous ce n’est plus le cas. Tout fous le camp, ca fuit de partout je commence a perdre pieds. J’ai souris quand elle m’a fait comprendre pourquoi je ne pouvais pu l’embrasser. J’ai souris comme le con que je suis, une nouvelle facade, un mecanisme qui a fait ses preuves et ca a marcher encore cette fois la. Je suis partis l’esprit calme je savais ce que j’allais faire. Marquer le coup et enterrer ca comme on enterre ses jouets parce qu’il sont de mauvais souvenir. Tout etait planifier quand je suis sortis. Les mots ecrit sur le murs, les coups de poing dans l’arbre, les bouteilles de whisky et la reflexion isolé dans mon arbre meme mon lecteur mp3 s’en est mélé en me jouant selon le principe de l’aléatoire: le requiem de mozart. J’ai tous fait selon le plan, le rituel qui avai germé dans ma tete pendant que je l’ecoutai me dire ce que je savai deja. Le soir je suis aller travailler comme si de rien n’etait. Ca avait l’air de marcher. Mais la maintenant, je me rend compte qu’elle m’a litteralement detruit. Ya pu rien. J’ai été incapable de pleurer ou de lui en vouloir. Incapable de me mettre en colere ou de hurler. Un melodrame se joue en moi et je n’ai aucun controle sur la mise en scene. Plus ca va et moins ca va mais j’en suis concient. C’est deja ca. La musique ne m’atteint pas comme elle devrai comme elle le faisait. Je me suis bourré la geule et ca na rien changé. Me jetter dans la weed ne m’apporterai pas grand chose de plus. N’empeche que si l’occasion se presente je n’esiterai pas. Un concert ne m’a pas changer les idées entre chaque morceau ca revenai comme si la touche replay etait enfoncai. Comme les chanson idiotes qui vous reste dans la tete alors que l’on ne veut pas. Des tas de chose se bousculent la-haut et meme si je suis habituer au bordel de ma tete la je ne le maitrise plus. Le taf a deux balles, mon avenir incertain, la resignation et la fatalité qui ont emmergé d’une discution dont la conclusion etait « On est tous voué a bouffer de la merde parce qu’on la programmer pour nous, ensuite a chacun de se créé son coup de paradis au milieu de la decharge », les entiment que je ne maitrise pas non plus, mon mal au bide constant, mon insomnie qui s’est muet en un sommeil aléatoire, mon appétit qui en fait de meme, la persistante impression que les humains sont d’une connerie a tout epreuve que tout le monde a peur de tout et surtout de rien. Que chacun vit son drame et ecoute l’autre pour relativiser. Que a la place de reve que j’occupe je n’ai pas le droit de me plaindre face a ce que les autre supporte. alors finalement je vais fermer ma geule, bouffer ma merde et vivre jusqu’a ce que ca revienne. Parce que ca doit revenir. mais pas comme ca. J’arrive pas a croire que je puisse dire autant de conneries. Mais j’assume. Alors allez-y crachez sur le fou, balancer les tomates pourries. Laccérez moi de sarcasme. Apres tout pour citer une phrase stupide : c’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire ce qu’on veut. Affligeant n’est-ce pas ? affligeant et pitoyable.
Le Poête Narvalo, Madil Vidache, Emingway, SouL et Ktana vous salut bien bas.