Habité d’une douce démence
Qui me harcele sans clémence
Je m’evade de la réalité
Par des rires saccadés
Des cavaliers fou servant
Dans la tornade de mes sentiments
Ma raison en séjour prolongé
Dans un hopital pour desenchanté
Au coeur de mon esprit s’insinuent
Des pensés que ma folie tue
Perdu dans un monde a la logique relative
Ou les images se bousculent de maniere fictive
La réalité a nos yeux est voilé
Transformant la déraison en arme chargé
Le poker truqué de nos destins
Nous emmenes vers des jours chagrins
La solitude comme seul alliée
Nous avancons les yeux bandés