J’étais en train de penser(oui même les blonds pensent) que je ne pouvais plus nier l’évidence. Le hasard n’existe pas. Du moins, disons que trop de coïncidences donne un goût bizarre. Musicalement surtout. Quand au milieu de 20 000 titres mis en aléatoire les morceaux tombent les uns aprés les autres pour illustrer un état d’esprit ou une impression, on en vient a se demandé s’il n’existe pas (non pas un dieu, pas de gros mots ici s’il vous plait) une sorte de courant universel qui régit le sens des choses, les fait aller dans la même direction pour renforcer une idée, une direction. Un requiem pour une rupture, le morceau dont vous venez de lire les paroles, celui qu’elle préfère au moment ou vous pensez à elle. Peut être que je me fais des idées. Que sont les morceaux qui ammènent les idées et non le contraire. N’empeche c’est curieu. Comme ces personne qui vous tombent dessus plusieurs fois par erreur au milieu du net sans pour autant vous chercher. Je sais le net c’est tout petit finalement. N’empeche !
Donc voilà peut être que tout est tracé plus ou moins profondément quelque part. Si c’est le cas, je voudrai connaitre la fin. Que celui qui n’a jamais trouvé le hasard subtilement sadique, qui n’a jamais trouvé que les alléas avaient parfois un humour amer, me jette la première pierre.
Rebonjour par ici.
A mon avis, le hasard existe.
Il dépasse l’homme qui y cherche des coincidences.
Voilà tout.