Et si le phenix brulait pour de mauvaises raisons ?
S’il n’était jamais vraiment mort ?
Et que de fait, il ne soit pas sûr de renaitre ?
Qu’il avait changé de combustible ?
Qu’il brulait d’un feu froid, sans âme ?
C’est peut être un peux comme dans « De Battre Mon Coeur S’Est Arrêter »
Il vit la musique, il la connait, la sens, la ressent, apprécier sa valeur
Il sait la jouer même, s’il se transende, qu’il va au bout.
Mais au final ce n’est pas lui qui sera sur scène.
Parce qu’il sait.
Il sait voler mais pas bruler.
Je dois être pareil.
Peut-être que ma clef n’ouvrira pas ma porte mais celle de quelqu’un d’autre.
Savoir s’effacer pour un autre.
Appréciateur, pas créateur.
C’est peut être ça.
Et puis à coté il y a tant de choses qui reviennent d’un coup.
Ca fait plutôt mal, les lèvres sur le goulot, un cri sur les lèvres, se les mordre pour ne pas trahir une cicatrice
Puis les lui abandonner.
Oublier.
Laissez couler.
« Avant de mourir, pouvoir affirmer en toute honnêteté que j’ai vécu »
Et pas un autre.
« In the end, what matters is… »