Je suis au travail, en plein après midi. Il fait assez chaud et l’on ne croule pas vraiment sous le travail. On se décide a aller bosser. Nous somme trois. On a tous une petites voiture genre C1/107/Aygo


et bien évidemment on fait la course en faisant rugir les petits moteurs et déraper les pneus chaque fois que l’on peut. Nous sommes sur les routes d’une petites ville d’Arizona.

Le bitume est éclairci par la poussière et le sable. Le soleil est de plomb. La station essence habituelle est fermée alors on se met en quête d’une autre station. Nous traversons des zones industrielles traversé par des rails et du vent où rouilles tranquillement ici et là de vielles voitures abandonnées.

J’abandonne lentement la recherche d’une station et contemple l’endroit où je me trouve à allure lente. Sur le bas coté de la route devenue vide

une nana fait du stop.
Un mélange étrange de la Jaime Pressly de Torque

et de la Megan Fox de Transformer 2

Elle a les yeux noir comme l’enfer. Ma voiture a changé tandis qu’elle monte sur le siège passager.

La voiture a disparue. La route aussi. Nous sommes au Mexique et nous faisons notre chemin sur les toits en métal percés par le soleil.

Mon autostoppeuse va à bon rythme et je la suis difficilement. Pourtant je la rattrape et fini même par prendre la tête. Elle dérape et je tente de la rattraper. Je prends sa main mais me laisse entrainé dans sa chute. Nous atterrissons dans la poussière de l’arrière cours d’un garage « old school ».

J’y suis déjà venu dans un rêve précédent. Ça sent l’essence l’huile chaude la sueur et la bière. Les mecs qui bossent ici sont des armoires normandes tatouées et douée pour la mécanique. Ils connaissent déjà ma cavalière et proposent d’aller chercher la voiture qui nous à lachée. Je discute avec un des mécanos et nous cherchons à nous convaincre l’un l’autre de la suprématie des Chevy ou des Mustang.
Le boss de la boite

passe près de moi et me jette un regard de tueur. Il repasse alors près de moi au volant de sa voiture et manquant de m’écraser, m’oblige a faire un écart. Dans le même mouvement je raye plus ou moins volontairement la carrosserie avec mes clefs. Il freine, descend de la voiture et s’avance vers moi. Il enfonce ses yeux dans les miens. Je ne flanche pas. Il me tend alors un couteau-papillons noir

en disant qu’il me le donne pour éviter de s’en servir contre moi. Il tourne les talons et s’en va. Le yeux pétrole de ma Megan de cuir m’interroge. Je me réveille.

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