Vacances : Achevées
Anniversaire : Passé
Connexion internet : Sautée
Les vacances c’est toujours trop court. Mais ça c’est pas une nouveauté. J’en ai profité un peu quand même. Pour faire des kilomètres avec le monstre, pour aller à La Rochelle et pour glander sauvagement.
Au retour ma connexion était HS et d’ailleurs elle l’est toujours.
« Votre ligne a été écrasé, avez vous demandé une autre ligne ou solicité un autre opérateur ?
– ben non
– Ok on va faire une enquête et régler ça sous 7 jours garantis. »
Ca fait 10 jours, j’attends toujours…
Je le vis plutôt bien. Parce que j’ai le net au boulot. Et parce que j’ai de quoi lire. Enfin un peu moins maintenant. Pour mon anniv’ j’ai eu droit, en plus du DVD de Ghost Dog et d’un collector de Desproges, a une partie des livres précités. Donc, Journal d’un vieux dégueulasse, Psychopathologie de la vie quotidienne, Bonjour Tristesse.
J’ai commencé Bukowski lundi. Et l’ai terminé hier soir. En rentrant j’ai commencé et fini Sagan. Je vais voir si je peux me faire Freud. C’est drole les bouquins, comment on vient à eux, ou plutôt le contraire. Je me suis interessé à Bukowski à cause de Kalifornication, que j’avais regardé a cause de Duchovny, dont j’avais apprécié le jeu(en dehors des X-files bien sûr) dans Kalifonia. Que j’avais regardé pendant que je me faisais la filmo de Brad Pitt. Tout s’enchaine avec facilité. De même j’avais envisagé Sagan (et Freud)à cause de Zofia, de son article. Et aussi en partie a cause du battage médiatique autour du film. Mais en le lisant, c’est le visage de Solicia que portait Céçile. Allez comprendre pourquoi.
J’ai adoré Le journal. Je l’ai dévoré même. Je risque d’ailleurs fortement d’en lire d’autres de cet auteur. La littérature américaine semble m’être adapté. Bukowski, King, Salinger, Steinbeck, Thompson, Palahniuk, Hemingway… tout ça me colle à la peau. Bukowski m’emmène vers Celine, Kafka, Fante, Tourgeniev, Camus, Kerouac ou encore Dostoïevski(le prochain certainement). Et ainsi de suite. De sorte que l’on a toujours quelque chose à lire. Les listes s’allongent encore et encore.
Il en va de même pour la musique. On commence par un artiste, puis on s’interesse à ceux qui l’on inspiré, ses amis, ceux qui faisaient référence dans son style à son époque puis de nos jours puis ceux avec qui il a collaboré.
Encore et encore.
Et toujours.
Et plus on découvre, plus on veut découvrir, plus on voit qu’il y a à découvrir, et plus on réalise qu’on ne pourra pas découvrir.
Continue à garder ainsi ta soif de connaissances, c’est une belle chose que de savoir découvrir.