Il faut qu’elle soit partie déjà,
Pour ecrire « ne me quitte pas »
(Zazie – Sur Toi)
Quoi que je fasse, ou que je sois
Rien ne t’efface, je pense à toi
(Goldman – Pas Toi)
Ma raison facille et tangue,
Elle est prete a chavirer
Sous les coups de boomerang
De flash-back enchainés
(Gainsbourg – Comme Un Boomerang)
Pas la peine que je précise
D’où ils viennent et ce qu’ils se disent
C’est une histoire normale
une histoire ordinaire
(Cabrel – Un Samedi Soir Sur La Terre)
Et je te rends ton amour
Au moins pour toujours
Je te rends ton amour
Le miens est trop lourd
(Mylene Farmer – Je Te Rends Ton Amour)
c’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble
et qui se répète tout au long de sa chute :
« jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien… »
mais l’important c’est pas la chute… c’est l’aterrissage.
(Mathieu Kassovitz – La Haine)
Ya des paroles qui sonnent mal, des paroles dont on aurait pas voulut comprendre le sens, d’autres qui prennent un sens différent.
« Les paroles s’envolent, les ecrits restent »
Quand les écrits sont du vent, qu’est-ce qu’il nous reste ?